Mon texte du jour dans notre groupe Facebook Les Championnes du monde:
2018 a été mouvementée pour ne pas dire tourmentée pour plusieurs. Des crises majeures, maladies, perte d’emploi, des coups bas, des deuils, des ruptures. Des tempêtes, on en vit toutes, et bien entendu, ce n’est pas facile. Mais il y a certaines choses qui ressortent des grands remous et qu’il vaut la peine d’apprécier.
D’abord, les vrais (es) amis (es). Quand ça va mal, quand on est au plus bas, c’est à ce moment qu’on peut réellement prendre le pouls de notre entourage, encore plus quand une tempête est publique, ou médiatique (pensez à Caroline Néron par exemple). Qui est là pour moi, qui s’est sauvé en courant, qui apporte du soutien, qui est deux fois plus stressant….?! L’apocalypse n’est pas souhaitable mais parfois elle aide à faire le ménage.
La tempête est aussi un exercice. Savoir tenir le gouvernail quand ça brasse, il faut l’apprendre. Et si on ne tombe jamais, on ne sait pas comment se relever avec adresse. Car c’est ça le véritable test des tempêtes. Comment on se relève. C’est ça qui est vraiment important. Avec les bons amis, les bons alliés, avec du courage, de la patience, et une bonne dose d’humilité, on peut se remettre de bien des maux.
Quand on tombe très bas, la barre est aussi rabaissée. Moins de pression, moins d’attentes. N’avoir rien à perdre est une arme redoutable dans bien des cas. Et quand on a connu l’échec, on garde avec nous cette confiance que tout fini par bien aller. Car oui, après la pluie (ou la tempête de neige) le beau temps !
Janie xxx
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